J’ai deux chiennes à plein temps. Lily est parfois pénible car elle aboie : quelqu’un a la porte, quelqu’un près du jardin… on ne sait jamais.
Mais je parle de moi qui aboie. Hier après avoir appelé le grand lutin pour la xieme fois, je lui ai aboyé dessus. Vous voyez ce que je veux dire : » Tu viens, alors ! ». Et lui de n’aboyer dessus a son tour : « je t’ai dis attends, arrête de crier ». Et la j’ai eu honte, c’est vrai je lui ai aboyé dessus, est ce que j’aboierais comme ca après mon manager ? – d’accord, lui répond quand je parle…
Je m’aperçois que je passe ce que j’ai reçu. Et que mes parents passent ce qu’ils ont reçu et que j’ai drôlement intérêt à arrêter sinon le lutin va passer ca a la génération suivante…
Avez-vous remarque que l’on parle différemment aux gens qui nous entourent. Je ne parle pas du contenu mais du contenant. Je crois que j’ai des progrès à faire. Au lieu de faire taire Lily, je vais déjà essayer de ME faire taire.